Et si finalement la médecine générale n'était qu'une question de CIRCONSTANCES.
CIRCONSTANCES du diagnostic ... d'une rencontre ET du choix de son médecin ...
CIRCONSTANCES du traitement ... traiter ou ne pas traiter... pouvoir ou ne pas pouvoir traiter ...
DES MOYENS à disposition ... des moyens qu'on nous donne ou qu'on n'a pas ...
qu'on voudrait avoir PARFOIS ... qu'on espère SOUVENT ...
qu'on voudrait avoir PARFOIS ... qu'on espère SOUVENT ...
les moyens du bord ... et tout ce qu'on aura jamais ...
Médecine au long cours ou médecine de l'immédiat ...
nous naviguons à vue, souvent dans la tempête ... et parfois sans bouée ...
nous naviguons à vue, souvent dans la tempête ... et parfois sans bouée ...
Nous devons apporter une réponse aux circonstances.
circonscrire l'incendie ... prévenir ou agir ...
circonscrire l'urgence circonscrire l'essentiel du superflu, l'accessoire du principal.
Tout est question dans l'instant d'apporter la bonne décision, questions d'une vie (et de mort) pour certains, de la santé d'hommes et de femmes qui ne nous appartient pas.
Nous sommes seulement les dépositaires d'une histoire et des fragments d'une existence dont le contenu doit laisser laisse libre cours à l'exercice si particulier et unique qui est celui du praticien.
Nous sommes seulement les dépositaires d'une histoire et des fragments d'une existence dont le contenu doit laisser laisse libre cours à l'exercice si particulier et unique qui est celui du praticien.
Et ce sont les circonstances elles mêmes qui nous mettent inévitablement en position de force mais aussi dans une situation de très grande faiblesse, situations souvent délicates face à aux réalités de tous les jours, instants fragiles et fugaces, fruits d'une expérience quotidienne et singulière.
Mais il n'appartient finalement qu'à nous, soignants ou soigneurs, médecins de terrain, d'hier et d'aujourd'hui, d'en assumer les risques, les conséquences et la lourde responsabilité qui en découlent,
et avec la VOLONTÉ de tous les jours et en toute INDÉPENDANCE, de vaincre la maladie ou d'accompagner les malades, de se battre pour la vie et la santé de nos patients ...
Mais il n'appartient finalement qu'à nous, soignants ou soigneurs, médecins de terrain, d'hier et d'aujourd'hui, d'en assumer les risques, les conséquences et la lourde responsabilité qui en découlent,
et avec la VOLONTÉ de tous les jours et en toute INDÉPENDANCE, de vaincre la maladie ou d'accompagner les malades, de se battre pour la vie et la santé de nos patients ...
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